Charge de travail n'entraine pas systématiquement une surcharge mentale

On a tendance à les confondre, mais ce sont deux choses bien différentes.

👉 La charge de travail, c’est ce qu’on a à faire : tâches, objectifs, délais.

  👉 La charge mentale, c’est ce qu’on ressent face à tout ça : pression, stress, fatigue cognitive.

🔍 Ce qui est intéressant, c’est que l’un n’entraîne pas toujours l’autre.

➡️ Une forte charge de travail peut être bien vécue, si :

→ le travail a du sens,

→ vos valeurs sont alignées, 

→ l’environnement est sain,

→ les compétences sont adaptées,

La charge de travail n’est pas forcément négative : on peut avoir beaucoup à faire tout en restant organisé et épanoui, Donc, du plaisir à travailler.

➡️ À l’inverse, une faible charge de travail peut être mentalement épuisante dans un contexte toxique, flou ou démotivant.

💡 Conclusion :

Ce n’est pas tant ce qu’on fait, mais la manière dont on le vit qui pèse sur notre équilibre.

Et si on repensait la charge mentale non pas uniquement en volume de travail, mais en qualité de relation au travail ?

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